contreaddictions

trois - quatre mots, un étouffoir, de vagues frissons... sans espoirs je suis poire, sans mots je suis moite, sans coït je reste coite. ici y faudrait une image Je me connais par coeur : quand ça coince des neurones aux doigts de pieds en passant par...

sous le ciel ombragé ombrageux à dans 8 jours, je pars tout à l'heure vers la grisaille capitale. Veillez bien sur le jardin ! Aujourd'hui je suis fière d'être dans l'opposition.

un ptit coin d'paradis... sous un coin d'parapluie Ce matin j'avais envie de papoter comme ça, de jeter quelques mots sans importance et rencontrer un sourire ou deux. Ouvrir un vieil album-photo du temps où on pouvait se payer des vacances et s ourire...

extrait d'un vieux truc qui prend l'air à cause de Loïs et Koko ;-) Le son – toujours beaucoup trop fort – me tirait de temps à autre de ma chappe protectrice et les images brèves que je percevais alors saupoudraient mes rêves de leur puzzle incongru....

spécial dépoussiérage pour Planeth Tourner en rond comme un lion en cage. Encore, toujours mordre les barreaux Et s’y casser les dents. La liberté, seule et édentée ? Plutôt crever que d’y échapper ! J’veux pas mourir d’ennui au fond de mon couloir Mais...

- Allô madame R-- ? en général, à la prononciation hasardeuse de mon patronyme, je sais déjà qu'on veut me faire acheter gagner une cuisine aménagée ou me faire croire que je fais (déjà?) partie des heureux couples de retraités élus pour participer à...

marché de plein vent, un vendredi matin. La botte de poireaux tombe tant bien que mal dans mon sac mais les pièces de monnaie, échappant à mes doigts gourds, s'éparpillent dans la cagette d'endives. Pardon, j'ai les mains glacées, dis-je à la marchande....

Article de mon ancien blog "motsdits" image de chez Yvaine - collection d'almanachs L’Almanach traditionnel ayant été remplacé par un vulgaire calendrier aux vertus incitatives, truffé de publicités et de dates à marquer d’un gros chèque chez les commerçants...

Quand j’étais enfant, je vivais au(x) jardin(s). De celui de la maison à celui de ma grand-mère, en passant par ceux des voisins, ma rue à moi n’était que jardins familiers. Les matins m’y croisaient pieds nus dans l’herbe mouillée, les soirs m’y retenaient...

On est déjà demain. Côté regard, côté sourire, j’ai tenu bon. Pas trop laissé filtrer l’angoisse. Les heures se sont jouées de moi. Toujours le facteur temps, celui qui me manque, celui que j’ai à n’en rien faire, et enfin celui à venir. Celui sur lequel...